So mal zwischendurch...
Moderatoren: Markus, Christian Ader
- Claus J.Billet
- Heraldiker
- Beiträge: 6775
- Registriert: 22.11.2004, 08:57
- Wohnort: 70794 Filderstadt
- Kontaktdaten:
Mein Gott ist die Erde schön man sollte sie wirklich erhalten Ein Wunder das es sie gibtMarc94 hat geschrieben:Das ist wirklich ein sehr schönes Spektakel
Ich träum mal weiter, keine Kriege mehr ,keine Armut Respekt vor der Natur und dem Leben,Respekt vor sich selbst und anderen es wäre ein Paradies
Viele Grüsse
Andreas Böhm
"Du lebst um Gottes Willen, zu seiner Ehre, für seine Ziele und zu seiner Freude. Wenn du wirklich verstehst, was das bedeutet, wirst du nie wieder das Gefühl haben, klein und unbedeutend zu sein."
Andreas Böhm
"Du lebst um Gottes Willen, zu seiner Ehre, für seine Ziele und zu seiner Freude. Wenn du wirklich verstehst, was das bedeutet, wirst du nie wieder das Gefühl haben, klein und unbedeutend zu sein."
C'est une chanson pour les enfants qui naissent et qui vivent
entre l'acier et le bitume, entre le béton et l'asphalte,
Et qui ne sauront peut-être jamais
Que la terre était un jardin.
Il y avait un jardin qu'on appelait la terre.
Il brillait au soleil comme un fruit défendu.
Non, ce n'était pas le paradis ou l'enfer
Ni rien de déjà vu ou déjà entendu.
Il y avait un jardin, une maison des arbres,
Avec un lit de mousse pour y faire l'amour
Et un petit ruisseau roulant sans une vague
Venait le rafraîchir et poursuivait son cours.
Il y avait un jardin grand comme une vallée.
On pouvait s'y nourrir toutes les saisons,
Sur la terre brûlante ou sur l'herbe gelée
Et découvrir des fleurs qui n'avaient pas nom.
Il y avait un jardin qu'on appelait la terre.
Il était assez grand pour des milliers d'enfants.
Il était habit jadis par nos grands-pères
Qui le tenaient eux-mêmes de leurs grands-parents.
Où est-il ce jardin où nous aurions pu naître,
Où nous aurions pu vivre insouciants et nus?
Où est-il ce jardin toutes portes ouvertes,
Que je cherche encore mais que je ne trouve plus?
(Georges Moustaki)
entre l'acier et le bitume, entre le béton et l'asphalte,
Et qui ne sauront peut-être jamais
Que la terre était un jardin.
Il y avait un jardin qu'on appelait la terre.
Il brillait au soleil comme un fruit défendu.
Non, ce n'était pas le paradis ou l'enfer
Ni rien de déjà vu ou déjà entendu.
Il y avait un jardin, une maison des arbres,
Avec un lit de mousse pour y faire l'amour
Et un petit ruisseau roulant sans une vague
Venait le rafraîchir et poursuivait son cours.
Il y avait un jardin grand comme une vallée.
On pouvait s'y nourrir toutes les saisons,
Sur la terre brûlante ou sur l'herbe gelée
Et découvrir des fleurs qui n'avaient pas nom.
Il y avait un jardin qu'on appelait la terre.
Il était assez grand pour des milliers d'enfants.
Il était habit jadis par nos grands-pères
Qui le tenaient eux-mêmes de leurs grands-parents.
Où est-il ce jardin où nous aurions pu naître,
Où nous aurions pu vivre insouciants et nus?
Où est-il ce jardin toutes portes ouvertes,
Que je cherche encore mais que je ne trouve plus?
(Georges Moustaki)